Une fillette tombe d'un pont alors que ses parents la prennent en photo
Publié le 29.07.2013, 15h17
C'est un accident hors du commun qui a eu lieu
dimanche matin à Saint-Jean-Pied-de-Port, au Pays Basque : une fillette de
trois ans est tombée de la rambarde d'un pont sur laquelle ses parents l'avaient installée, raconte le journal Sud Ouest.
Les parents, originaires de Bilbao (Espagne),
voulaient prendre en photo leur fille sur le parapet du pont de la Manutention.
Elle a alors basculé dans le vide, chutant de quatre mètres avant de tomber
dans la Nive, cours d'eau profond d'environ un mètre à cet endroit.
Le père est aussitôt allé récupérer sa fille en
contrebas, et l'a amenée au camping municipal où la famille s'était installée
pour les vacances. Transportée en hélicoptère au centre hospitalier de la Côte
Basque à Bayonne, elle souffre d'un traumatisme crânien et de quelques points
de suture, mais son état est jugé stable par les médecins.
«Plus de peur que de mal» commente-t-on à la mairie du
village, où l'on s'accorde sur le caractère assez exceptionnel de l'incident.
Selon les premières constatations, la fillette a basculé car, en raison de sa
petite taille, elle est passée sous la rambarde du pont.
Les égoutiers de Paris sont plutôt habitués à croiser des rats dans les égouts de Paris. Mais en mars 1984, c’est une rencontre d’une toute autre nature que les pompiers de l’époque ont fait. Au niveau du Pont Neuf, c’est tout simplement un crocodile de près d’un mètre qui les attendait tapi dans l’ombre. Et après avoir attrapé la bête, des spécialistes ont donné leur verdict, il s’agissait d’un crocodile du Nil.
Personne ne sait comment il a atterri là-bas. Ce qui est sûr c’est qu’Eleanore (c’est le nom donné au crocodile) ne se balade plus dans les égouts de Paris. Il est en effet à Vannes en Bretagne où il coule des jours heureux du long de ses désormais 3 mètres de long. Il faut dire que la durée de vie moyenne d’un crocodile est d’environ 100 ans.
Si les égoutiers n’étaient pas tombés sur lui ce jour-là, peut être que le crocodile marauderait toujours aujourd’hui dans les égouts de Paris….
C'est en participant avec sa fille à une
manifestation contre un projet de loi sur l'immigration que Tahar Ben Jelloun a
eu l'idée d'écrire ce texte. "Je suis parti du principe que la lutte
contre le racisme commence avec l'éducation. On peut éduquer des enfants, pas
des adultes."
Petit livre qui s'appuie sur les conversations
de l'auteur avec sa fille âgée de dix ans, et des amis de sa fille. De lecture
facile, il a le mérite d'expliquer clairement, dans un souci de compréhension,
des notions et concept complexes tels que les préjugés, l'étranger, la
discrimination, ...
Ce livre est écrit sous forme de dialogues.
Le racisme est un comportement qui consiste à
se méfier et même à mépriser des personnes ayant des caractéristiques physiques
et culturelles différentes des nôtres. Cela touche tout le monde, mais ce n'est
pas un comportement normal. Il faut savoir qu'un enfant ne naît pas raciste, il
le deviendra si ses parents ou ses proches lui mettent dans la tête des idées
racistes. La différence, c'est le contraire de ce qui est identique. Ce qui est
différent, c'est par exemple le sexe (masculin et féminin), une autre couleur
de peau ou encore une autre langue. Il y a des différences physiques (tailles,
trait du visage, etc.) et des différences du comportement, des cultures, etc.
Ce n'est pas qu'un raciste ne puisse pas aimer d'autres langues ou d'autres
cuisines, c'est qu'il peut porter un jugement négatif et injuste sur les
personnes qui parlent ces langues ou cuisinent des plats différents. Il pense
que tout ce qui est trop différent de lui, le menace dans sa tranquillité. Il a
peur de celui qui ne lui ressemble pas.
Le raciste invente des arguments pour
justifier ses idées de discriminations. Une discrimination, c'est le fait de
séparer un groupe social ou ethnique des autres en le traitant plus mal. Un
raciste pense que sa race est supérieure à celle d'une personne différente de
lui. Mais en réalité, aucune race n'est meilleure qu'une autre tant sur le plan
physique et mental. Il existe plus de différences socioculturelles entre les
peuples que de différences génétiques. Certaines personnes pour justifier leurs
actes racistes, s'appuient sur les livres sacrés comme Le Coran ou La Bible.
Pourtant, toutes les religions sont contre le racisme. Les hommes sont égaux
aux yeux de Dieu. On n'a le droit de ne pas aimer tout le monde, mais ne pas
l'aimer simplement parce qu'il a une autre couleur de peau ou les yeux bridés.
Il s'appuie sur de simples traits physiques pour justifier son rejet de la
personne. Pour combattre ses rejets, il faut apprendre à respecter les autres,
avoir de la considération pour les autres.
Voici une vidéo de l'auteur qui parle de son livre; niveau B1-B2.