Ecoutez cette belle chanson de Noël et complétez les paroles !
Voici un ptit coin d'aide et d'entraide pour tous ceux qui apprennent le français !
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vendredi 28 décembre 2012
lundi 17 décembre 2012
L'infirmière fainéante !
Une femme est
condamnée à deux ans de prison pour n'avoir travaillé que 6 jours en 9 ans.
Publié dans Gentside le
17 décembre 2012 par Maxime Lambert
Dans le
centre de l'Italie, une femme vient d'écoper de deux ans de prison et d'une
amende de 25.000 euros pour n'avoir travaillé que 6 jours sur ces 9 dernières
années. En effet, l'infirmière a usé de faux certificats et de fausses
attestations pour justifier son absence prolongée.
Dans la ville
universitaire de Bologne, dans le centre de l'Italie, une femme vient d'écoper
de deux ans de réclusion ferme pour n'avoir travaillé que six jours... en neuf
ans, soit six jours sur 3285. Et oui, l'infirmière de formation est parvenue,
on ne sait trop comment, à se jouer de l'hôpital de Sant'Orsola où elle était
supposée passer ses journées à travailler et non à chercher un moyen d'esquiver
ses collègues. Ainsi, la
Bolognaise est parvenue à cuisiner tout le monde grâce à de
faux certificats de maladie et de grossesse pour justifier ses absences
prolongées, rapportent plusieurs médias italiens.
L'usurpatrice,
Silvia Parti, écope également de 25.000 euros d'amende destinés à dédommager
son employeur, l'hôpital de Sant'Orsola, rapporte l'édition locale du quotidien
La Repubblica et relayé par l'agence belge d'information, Belga.
Toujours selon les journalistes
italiens, la jeune femme se serait fait aider par un collègue de travail d'un
autre hôpital, pour obtenir ses faux certificats. En effet, un gynécologue
serait également surveillé de près par l'enquête qui a été ouverte à ce sujet. Le
médecin aurait notamment fourni à sa patiente, deux attestations de grossesses
prétendument à risque de complication, sauf qu'après enquête, il s'avère que
l'infirmière n'aurait selon toutes vraisemblances jamais été enceinte.
La dépêche précise également que ces deux années de
prison et les 25.000 euros d’amende ne concernent en fait que le volet des
fausses grossesses. La peine pour les faux certificats de maladie n’ayant pas
encore été jugés, le sort de Silvia Parti n’est pas encore totalement fixé. Ironie
du sort, la femme, dont c'est la première condamnation, devrait purger sa peine
sous le régime de l'assignation à résidence.
Service offert par Quizz.biz
mardi 4 décembre 2012
Le père de nos pères, Bernard Werber
Le Père de nos pères est un roman de Bernard Werber, paru en 1998. C'est le premier tome du cycle dit des Aventuriers de la Science.
Dans ce livre, Werber traite des origines de l'Humanité. Il propose une idée alternative et surprenante à la théorie du chaînon manquant dans la chaîne de l'évolution de l'homme.
L'intrigue se déroule en grande partie de nos jours, quand le Professeur Adjemian est assassiné alors qu'il avait trouvé la réponse à la fondamentale question « D'où venons-nous? ». La jeune journaliste Lucrèce Nemrod couvre l'affaire et décide de découvrir pourquoi le paléontologue a été tué alors même que la police classe l'affaire. Pour son article, Lucrèce demande de l'aide à Isidore Katzenberg, un ancien journaliste scientifique qui vit dans un château d'eau. Ce drôle de personnage partira avec sa collègue en Afrique pour tenter de percer le secret qui coûte la vie de plusieurs personnes tout au long du récit.
Simultanément, une seconde intrigue s'entremêle avec l'enquête des deux journalistes. Cette seconde histoire se passe « Quelque part en Afrique de l'Est. Il y a 3,7 millions d'années. » et retrace la vie d'un homme des cavernes appelé tout simplement « IL » mais qui sera rebaptisé par le lecteur "Adam".
Le suspense est très intense jusqu'au dernier mot du roman qui nous dévoile l'identité du « chaînon manquant ». Les genres du polar, du journalisme scientifique, du roman d'aventure, du biographique, du conte philosophique, et autres sont mêlés dans un style propre à Bernard Werber.
lundi 19 novembre 2012
La cabane dans les arbres
Quand vous terminez le questionnaire, entrez le code professeur "laclassedefabienne" pour me'envoyer vos résultats !
mercredi 14 novembre 2012
Spécialités régionales
Faites les deux activités suivantes dans l'ordre et utilisez le mode "Plein Ecran".
1-
2-
A vos conjugaisons !! L'imparfait
L’imparfait
est un temps du passé qui accompagne le passé composé, sa
fonction est de décrire l’état des choses dans le moment passé.
Seule exception
Etre : j’étais, tu étais, il était, nous étions, vous étiez, ils étaient.
L'utilisation
Dans le passé, l'imparfait nous aide à faire des descriptions et n'a pas l'obligation d'action terminée.
1- La description: il marque généralement une durée dans le passé.
exemples:
Il faisait très froid ce matin-là.
Tu avais les yeux verts avant, non ?
2- L'habitude: il marque les actions habituelles.
exemple:
Quand j'étais petite, j'allais tous les jeurs à la piscine.
3- Avec des articulateurs de temps pour marquer l'habitude.
exemple:
tous les jours, souvent, parfois, de temps en temps, jamais, rarement, etc.
4- Avec QUAND comme articulateur, comme lien entre deux actions.
exemple:
Il partait quand je suis arrivé.
La formation
C’est une formation
simple avec des terminaisons régulières.
C’est le radical du verbe au présent avec NOUS + les
terminaisons de l’imparfait.
Présent
|
Terminaison de l’Imparfait
|
Imparfait
|
|
je
|
PARLE |
-ais
|
parlais
|
tu
|
PARLES |
-ais
|
parlais
|
il
|
PARLE |
-ait
|
parlait
|
nous
|
PARLONS |
-ions
|
parlions
|
vous
|
PARLEZ |
-iez
|
parliez
|
ils
|
PARLENT |
-aient
|
parlaient
|
Attention
à ces verbes
|
Présent
|
||
Infinitif
|
NOUS
|
On
ajoute
|
Imparfait
|
Prendre
|
prenons |
-ais
|
Je prenais
|
Dire
|
disons |
-ais
|
Tu disais
|
Faire
|
faisons |
-ait
|
Il descendait
|
Boire
|
buvons |
-ions
|
Nous buvions
|
Vouloir
|
voulons |
-iez
|
Vous vouliez
|
Finir
|
finissons |
-aient
|
Ils finissaient
|
Seule exception
Etre : j’étais, tu étais, il était, nous étions, vous étiez, ils étaient.
L'utilisation
Dans le passé, l'imparfait nous aide à faire des descriptions et n'a pas l'obligation d'action terminée.
1- La description: il marque généralement une durée dans le passé.
exemples:
Il faisait très froid ce matin-là.
Tu avais les yeux verts avant, non ?
2- L'habitude: il marque les actions habituelles.
exemple:
Quand j'étais petite, j'allais tous les jeurs à la piscine.
3- Avec des articulateurs de temps pour marquer l'habitude.
exemple:
tous les jours, souvent, parfois, de temps en temps, jamais, rarement, etc.
4- Avec QUAND comme articulateur, comme lien entre deux actions.
exemple:
Il partait quand je suis arrivé.
vendredi 9 novembre 2012
La grammaire est une chanson douce, Erik Orsenna
Roman de Erik Orsenna paru en 2001
La grammaire est une chanson douce est une fantaisie joyeuse. Jeanne, la narratrice, pourrait être la petite sœur d'Alice, l'héroïne de Lewis Caroll, précipitée dans un monde où les repères familiers sont bouleversés.
Jeanne, dix ans, voyage beaucoup avec son frère aîné Thomas, quatorze ans. Leurs parents, divorcés, vivent chacun d'un côté de l'Atlantique. Un jour qu'ils se rendent en Amérique, le frère et la sœur sont pris dans une tempête inouïe ; leur bateau fait naufrage. Seuls rescapés, Jeanne et Thomas échouent miraculeusement sur une île inconnue.
C'est alors qu'ils réalisent qu'ils sont devenus muets, privés de mots : ils ne peuvent plus parler ! Accueillis par Monsieur Henri, un musicien poète et charmeur, ils vont découvrir un territoire magique, où les mots sont des êtres vivants, où ils ont leur ville, leurs maisons, leur mairie et leur… hôpital !
C'est une promenade dans la ville des mots, pleine d'humour et de poésie, où les règles s'énoncent avec légèreté. Les tribus de verbes et d'adjectifs, les horloges du présent et du passé s'apprivoisent peu à peu, au rythme des chansons douces de Monsieur Henri. Une promenade à laquelle Jeanne vous invite.
Erik Orsenna a écrit là une critique, allégorique mais très claire, de l'évolution des méthodes pédagogiques du français. Mais ce livre est, avant tout, par sa naïveté, son évocation-hommage d'Henri Salvador et ses délicates aquarelles, un conte éducatif. Pour enfants, et pour ministres.
Pascal Jourdana, L’humanité
Pascal Jourdana, L’humanité
01 Janvier 2002 - CULTURES
vendredi 26 octobre 2012
Les Français râleurs !
LES FRANÇAIS RÉÉLUS
«PIRES
TOURISTES AU MONDE»
Radin, râleur et impoli, le voyageur tricolore n’a
pas la cote à l'étranger.
08 JUILLET 2009, EMILIE BUONO/RELAXNEWS
Pour la troisième année consécutive, les Français conservent leur titre.
Pas de quoi pavoiser pour autant, puisqu’ils ont une fois de plus été désignés
«pires touristes au monde» par une étude internationale réalisée par TNS
Infratest pour Expedia auprès des hôteliers.
Principaux défauts ? Les Français sont râleurs, pingres et impolis. Et
comme si cela ne suffisait pas, toujours selon cette étude, ils ne font aucun
effort pour parler les langues étrangères. Les professionnels interrogés dans
le cadre de l'étude soulèvent les difficultés pour les touristes français à
s'exprimer en anglais et leur habitude à insérer ici et là des mots en français
dans l'espoir de se faire comprendre. Les Français n’auraient pas non plus
l’habitude de laisser des pourboires mais n’hésiteraient pas à se plaindre pour
un oui ou pour un non. Et pour apporter une dernière touche au portrait de ce
détestable touriste, les hôteliers interrogés affirment que «la courtoisie à la
française a vécu, et que les Français n’ont plus aucun savoir-vivre»… Maigre
consolation, les touristes français se classent en tête du palmarès en ce qui
concerne la discrétion.
Les Japonais, les Anglais et les Canadiens constituent en revanche le
top 3 des touristes les plus agréables. Les voyageurs du pays du Soleil Levant
restent, pour la troisième année consécutive, à la première place. Un seul
bémol, ils arrivent avant-derniers pour la maîtrise de la langue du pays
d’accueil.
Les Anglais sont très appréciés pour leur générosité : ils passent de la
30ème à la 2ème place entre 2008 et 2009. Quant aux Canadiens, félicités pour
leur politesse, leur hygiène et leur calme, ils prennent la place des Allemands
dans le classement.
Par ailleurs, l’étude révèle que les touristes sud-européens sont les plus mal
vus par les professionnels, après les Français arrivent les Espagnols et les
Grecs.
Cette étude a été menée par l'institut TNS Infratest du 10 au 23 juin
2009 pour Expedia International auprès de 40.000 hôteliers qui devaient
s'exprimer sur neuf critères comme la politesse, la propreté, la discrétion ou
encore l'élégance.
Service offert par Quizz.biz
vendredi 19 octobre 2012
mercredi 10 octobre 2012
Stupeurs et tremblements, Amélie Nothomb
Stupeur et Tremblements est le neuvième roman d’Amélie Nothomb, publié en 1999. Il fut récompensé par le Grand Prix du roman de l’Académie française.
Amélie, originaire de Belgique qui a vécu sa petite enfance au Japon, a toujours admiré le raffinement et l’art de vivre du pays. À l’âge adulte, elle y retourne pour un contrat d’interprète au sein de la prestigieuse compagnie Yumimoto, afin d’y travailler et d’y vivre comme une vraie Japonaise.
La jeune femme se heurte à un système rigide auquel elle a du mal à s’adapter et enchaîne gaffe sur gaffe. Sous les ordres de la belle Mademoiselle Fubuki Mori, elle-même sous les ordres de Monsieur Saito qui lui est sous les ordres de Monsieur Omochi aux ordres de Monsieur Haneda, la jeune « Amélie-san » est aux ordres de tout le monde.
C’est l’histoire d’une déchéance cruelle et injuste : elle descend les échelons de la hiérarchie de la société jusqu’au poste de « dame pipi ». Elle refuse néanmoins de démissionner pour garder son honneur (notion fondamentale de la culture japonaise).
Ce roman expose le système japonais du monde du travail, qui consiste à réclamer la perfection des employés, mais également à mettre à l’écart et frapper d’ostracisme, sans toutefois les licencier, les éléments déviants. Un exemple (sans la maltraitance subie par Amélie) est le madogiwa « coin de fenêtre », employé plus tout jeune jugé inutile qu’on affecte à un bureau isolé, idéalement près d’une fenêtre, et à qui on ne confie plus aucune tâche jusqu’à ce qu’il démissionne ou prenne sa retraite. Proche finalement peut-être du « placard » français.
C’est sur le rapport rendu difficile par la profonde différence de mentalité entre Occidentaux et Japonais que l’auteur travaille. Beaucoup reprochent à l’auteur d’avoir dressé là un tableau sans complaisance du Japon et des Japonais, oubliant au passage que ce qui est dépeint dans cet ouvrage n’est qu’un cas particulier et fantasmé.
Le livre a fait l’objet d’une adaptation filmique par Alain Corneau : Stupeur et Tremblements dans laquelle le personnage d’Amélie Nothomb est joué par la comédienne Sylvie Testud et aussi d’une adaptation au théâtre.
mardi 9 octobre 2012
mercredi 12 septembre 2012
Au bonheur des ogres, Daniel Pennac
Dans la tribu des Malaussène, il y a quelque chose de curieux. Mais à y regarder de près c'est le bonheur qui règne dans cette famille joyeusement bordélique dont la mère sans cesse en cavale amoureuse a éparpillé les pères de ses enfants. Pour Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel et frère aîné responsable de cette marmaille, la vie n'est jamais ennuyeuse. Mais quand les bombes commencent à exploser partout où il passe, attirant les regards soupçonneux de la police et de ses collègues de travail, il devient rapidement vital pour le héros de trouver pourquoi, comment, et surtout qui pourrait bien lui en vouloir à ce point-là…
Benjamin Malaussène est bouc émissaire. Pas officiellement, bien sûr... sur le papier, il est contrôleur technique. Mais dans les faits, il ne vérifie rien, et se contente, lorsqu'un client se présente au bureau des réclamations, de tout prendre sur le dos. Et là, miracle: le client prend pitié, retire sa plainte, et se contente de faire remplacer son produit.
Il est le frère aîné d'une grande tribu : sa mère est éternellement enceinte et en vadrouille. Elle collectionne les maris et les abandonne peu de temps après les avoir rencontrés. Il a une première sœur (Louna) qui hésite à avorter de ses jumeaux, une deuxième qui prédit l'avenir (Thérèse), une troisième qui photographie l'horreur quotidienne (Clara)qui est aussi sa préférée, et deux frères, un qui fait exploser son collège (Jérémy), et le petit dernier qui rêve et dessine des ogres Noël, sans oublier Julius, le chien épileptique.
Mais la vie « tranquille » qu'il mène à Belleville va être bouleversée par une série de bombes qui vont exploser dans le magasin. Et son emploi secret de bouc émissaire va faire de lui le meilleur suspect pour les enquêteurs de la police judiciaire, ainsi que le souffre-douleur de ses collègues.
Il va mener l’enquête avec sa petite amie journaliste - dont on ignore le nom mais que Benjamin a surnommé Tante Julia - dont il a fait la connaissance alors qu’elle volait un pull au magasin, et son ami Théo, qui est lui aussi employé du magasin.
Parallèlement, chaque soir, lorsqu’il est avec sa famille, il raconte une histoire remettant en scène les explosions de bombes mêlées au comportement des personnes qui l’entourent (sa famille, ses collègues, les inspecteurs). Ces histoires, ainsi que l'intuition de Jérémy, qui comprend comment les bombes sont introduites dans le Magasin, vont l’aider à deviner qui fait exploser les bombes. Mais c'est cependant la police qui éclaircit les derniers éléments de l'affaire avec l'aide du trio composé de Benjamin Malaussène, de sa petite amie, alias Tante Julia, et de son ami Théo. Et ils vécurent heureux et eurent plein de petits ogres.
La sortie du film qui porte le même nom que le livre, est prévue pour 2013.